La boucle est « bouclée », retour à Buenos Aires (Argentine) pour prendre le bateau qui nous ramènera en France

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19 au 29 juillet, Gualeguaychu, Zarate, Tigre et Buenos Aires : nous rentrons en Argentine et retrouvons les clôtures interminables au bord des routes. Difficile de bivouaquer en pleine campagne, comme nous l’avons toujours fait, d’autant plus qu’il y a beaucoup de marécages dans cette région entre le rio Uruguay et le rio Parana (et qu’il a beaucoup plu, aussi). Nous passons donc les deux premières nuits en Argentine sur des parkings de stations services, puis nous nous installons au camping l’Hirondelle à Tigre (à 50km de Buenos Aires). Petit camping familial, au bord du rio Lujan, tenu par Béatriz et son mari où beaucoup de voyageurs en Amérique du Sud  se sont arrêtés.

 Le soleil est revenu, arrêt au bord d’une route pour sécher la tente.

Le soleil est revenu, arrêt au bord d’une route pour sécher la tente.

 Camping l’Hirondelle à Tigre

Camping l’Hirondelle à Tigre

 Au camping l’Hirondelle, Béatriz nous montre ses albums photos et son livre d’or où nous découvrons les photos de voyageurs rencontrés pendant les 5 mois passés en Amérique du Sud.

Au camping l’Hirondelle, Béatriz nous montre ses albums photos et son livre d’or où nous découvrons les photos de voyageurs rencontrés pendant les 5 mois passés en Amérique du Sud.

 Une famille de musiciens au camping de Tigre : Gilbert et Florence ont fait le pari de chanter Paname www.pari-paname.com. Ils voyagent en camping car avec leurs deux enfants.  Une famille de musiciens au camping de Tigre : Gilbert et Florence ont fait le pari de chanter Paname www.pari-paname.com. Ils voyagent en camping car avec leurs deux enfants.

Une famille de musiciens au camping de Tigre : Gilbert et Florence ont fait le pari de chanter Paname www.pari-paname.com. Ils voyagent en camping car avec leurs deux enfants.

A Tigre, les voitures sont moins utiles que les barques.On ne roule pas, on navigue. On laisse sa voiture au parking ou sur le quai, et on remonte les bras d’eau en bateau jusqu’aux maisons enfouies dans la verdure des rives et toujours précédées d’un ponton en bois. Les embarcations y accostent.

 Ponton en bois du camping l’Hirondelle, au bord du rio Lujan.

Ponton en bois du camping l’Hirondelle, au bord du rio Lujan.

 La lancha (ou bateau bus) qui fait la navette entre le camping et la ville de Tigre

La lancha (ou bateau bus) qui fait la navette entre le camping et la ville de Tigre

Nous nous rendons à Buenos Aires pour récupérer notre ticket d’embarquement auprès de l’agence qui s’occupe de la compagnie Grimaldi et passons chez l’assureur pour faire prolonger l’assurance du land pendant une semaine de plus.

 En attendant la lancha sur l’embarcadère du camping qui nous emmènera à Buenos Aires (une heure et demie de navigation).

En attendant la lancha sur l’embarcadère du camping qui nous emmènera à Buenos Aires (une heure et demie de navigation).

Buenos Aires : entre 1920 et 1940, la ville a connu un formidable essor grâce aux capitaux étrangers, notamment anglais. De nombreux européens fortunés fréquentaient les grands hôtels et les casinos. Aujourd’hui Buenos Aires la prospère s’est transformée en une ville à deux vitesses. Les quartiers aux beaux immeubles donnent l’illusion de richesse, mais la misère se répand à quelques kilomètres du cœur de la capitale, dans des maisons de tôle où s’entassent des milliers de laissés-pour-compte. Même dans le centre ville, la misère sort dans les rues sous les traits des dizaines de cartoneros qui trient les ordures afin de récupérer ce qui est recyclable.

 Encore de belles fleurs dans les jardins, malgré l’hiver.  Encore de belles fleurs dans les jardins, malgré l’hiver.

Encore de belles fleurs dans les jardins, malgré l’hiver.

 La Casa Rosada à Buenos Aires, plazza de Mayo

La Casa Rosada à Buenos Aires, plazza de Mayo

 De beaux bâtiments superbement bien conservés
 De beaux bâtiments superbement bien conservés

De beaux bâtiments superbement bien conservés

Promeneur de chiens, un travail comme un autre : ici à Buenos Aires, on ne laisse pas son chien tout seul à la maison quand on travaille. On paie un paseador de perros qui assure une sorte de garderie. Celui-ci déambule du matin au soir avec ses compagnons à 4 pattes dans un quartier, ramassant un à un les chiens chez les particuliers. Le promeneur les amène sur une place spécialement aménagée pour les chiens où ils peuvent courir, faire connaissance entre eux, ou somnoler sous un arbre. Il y a deux tournées dans la journée,  soit le matin, soit l’après-midi, pendant 4 à 5 heures en général.

 Les promeneurs de chiens.  Les promeneurs de chiens.

Les promeneurs de chiens.

 Une autre face de Buenos Aires, en plein centre ville, près de la Casa Rosada.

Une autre face de Buenos Aires, en plein centre ville, près de la Casa Rosada.

 Quartier de Puerto Madero à Buenos Aires

Quartier de Puerto Madero à Buenos Aires

 Puerto Madero à la tombée du jour

Puerto Madero à la tombée du jour

30 juillet, retour en France avec le Grande Amburgo   

7 escales : Paraguaná et Santos (Brésil), Dakar (Sénégal), Emden et Hambourg (Allemagne), Tilbury (Grande Bretagne), Antwerpen (Belgique) et arrivée au Havre prévue vers le 23 août.

GRANDE AMBURGO        Arrivée      Départ

Buenos Aires                          29/07        30/07

Paraguaná                              01/08        02/08

Santos                                    03/08         04/08

Dakar                                     11/08         11/08

Emden                                    18/08         18/08

Hamburg                                19/08         20/08

Tilbury                                    21/08         22/08

Antwerp                                  23/08        24/08

Le Havre                                 25/08        26/08

La boucle est « bouclée », retour à Buenos Aires (Argentine) pour prendre le bateau qui nous ramènera en France

ADIOS AMERICA DEL SUR….

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